Tour à tour chroniqueur social et chroniqueur de l’intime, Frédéric Bobin sillonne depuis une dizaine d’années les routes de France et d’ailleurs (Suisse, Québec, Sénégal, Lituanie, Pologne) pour chanter ses folkgsongs à la française écrites à quatre mains avec son frère et alter ego Philippe. Le songwriting des frères Bobin campe un univers humaniste qui prend sa source autant chez Souchon et Lavilliers que Dylan et Springsteen… Qu’il chante les losers magnifiques, la nostalgie heureuse de l’enfance, les paradoxes de l’âme humaine, la solitude urbaine, l’absence mais aussi la résistance, Bobin a toujours le goût du mot juste et un sens aigu de la mélodie. Il s’est produit en première partie d’artistes prestigieux, tels que Clarika, Allain Leprest, Carmen Maria Vega, Loïc Lantoine, Yves Jamait, Alexis HK, Aldebert, Da Silva, Oldelaf, Alex Beaupain et a foulé quelques scènes mythiques parisiennes, comme La Cigale (en ouverture d’Amélie-les-Crayons) et tout récemment l’Olympia en première partie de Gauvain Sers. Dans une formule duo intimiste, Bobin présente les chansons de son nouvel album Les Larmes d'Or (qui contient un duo avec Kent) et revisite quelques unes des chansons de ses deux albums précédents, Singapour et Le Premier Homme, dans des versions denses et épurées. Prix du Public aux Rencontres Matthieu Côte (Cébazat – 2009) / Prix du Jury et du Public au Carrefour de la chanson (Clermont – 2010) / Prix du Jury aux Découvertes Voix de Fête (Genève – 2010) / Premier Prix Marc Robine (Blanzat – 2013).
Silence. Trois notes sortent d’une boi?te a? musique. D’emble?e, Tom Bird nous emporte de sa plume me?lancolique et enjoue?e. Au rythme de ses multiples instruments, il nous fait gou?ter ses mots a? bout de cordes, captivant la foule de son ramage pour nous conter avec since?rite? son histoire. Ou plutôt, celle qu’il aurait aime? vivre. Cette since?rite?, il la nourrit de passion et de chaleur humaine. C’est ce frisson musical qu’il retranscrit aussi bien sur sce?ne que sur son dernier disque (Octobre 2018) et qui lui a permis de remporter plusieurs tremplins. Et s’il dispose d’un univers bien a? lui, ce dro?le d’oiseau ne cache pas ses influences. Son travail minutieux des me?lodies nous renvoit aux artistes folk tels que Bob Dylan ou encore Damien Rice. On retrouve e?galement quelques textes slame?s, rappelant un certain Ben Mazue?. 10 ans d’e?criture et encore bien des choses a? raconter. Alors ouvrez les yeux... et e?coutez.